de una bruma que desciende oscurecida
de la noche que nos llega
de la huida
La alegría del rechazo y de la ira
de la lluvia que humedece un prado yermo
de la luz que nos fulmina
como a un muerto
La alegría del despecho inmerecido
del tormento y el ocaso de una idea
de la lágrima que cae
del olvido
La alegría
la alegría de este adiós que nos lastima.
Quand on aura allégé le plus possible les servitudes inutiles, évité les malheurs non nécessaires, il restera toujours, pour tenir en haleine les vertus héroïques de l'homme, la longue série des maux véritables, la mort, la vieillesse, les maladies non guérissables, l'amour non partagé, l'amitié rejetée ou trahie, la médiocrité d'une vie moins vaste que nos projets et plus terne que nos songes: tous les malheurs causés par la divine nature des choses.
M. Yourcernar